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27/07/2007

A bientôt !

Je pars méditer marcher dans les montagnes durant le mois d'août.

Bel été à tous !
Et à bientôt peut-être...

21:32 Publié dans Voyage | Lien permanent | Commentaires (4)

22/07/2007

Guérir, c'est rendre heureux

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Guérir, c’est rendre heureux. Je t’ai dit de penser au nombre d’occasions que tu as eues de te réjouir, et au nombre de celles que tu as refusées. Ce qui revient à dire que tu as refusé de te guérir. La lumière qui t’appartient, c’est la lumière de la joie. Le rayonnement n ’est pas associé au chagrin. La joie appelle un désir intégrant de la partager et favorise l’impulsion naturelle de l’esprit à répondre en ne faisant qu’un.

Pour être de tout cœur, tu dois être heureux. Si la peur et l’amour ne peuvent coexister, et s’il est impossible d’être entièrement apeuré et de rester vivant, le seul état entier est celui de l’amour. Il n’y a pas de différence entre l’amour et la joie. Par conséquent, le seul état entier possible est l’état entièrement joyeux. Guérir ou rendre joyeux, c’est donc la même chose qu’intégrer ou rendre un.

un cours en miracles

19/07/2007

Être

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Avoir moins, avoir plus. C’est demain.

Être plus, être moins. C’est jamais.

Être. Simplement. Largement.

C’est maintenant.

C'est toujours.

Respirer.

Enfin.

12/07/2007

Dire oui à ce qui est

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S’il y a souffrance, c’est que très souvent ce qui compose ce moment n’est pas ce que votre mental avait désiré, ce qu’il aurait voulu que ce moment soit.

Vous ne pouvez pas trouver la paix ou vous retrouver vous-même en travaillant exclusivement au niveau de la conscience objet. Essayer de réarranger la configuration d’objets dans votre vie de telle façon que le tout s’emboîte parfaitement ne vous procurera pas la paix escomptée. C’est ce que la plupart des gens essaient de faire, mais cela ne dure pas très longtemps parce que ce n’est pas dans la nature phénoménale d’être comme cela.

Les choses changent continuellement et influencent les situations. Même si elles sont merveilleuses, il y a toujours un autre aspect. Toute existence phénoménale ne pourrait exister sans cette attraction des polarités : le chaud, le froid ; le haut, le bas ; la naissance et la mort… Il serait futile de vouloir changer cette polarité.

Même si vous faites de votre mieux à ce niveau, cela ne suffira jamais car vous n’avez pas quitté le niveau de la conscience objet. Les gens fonctionnent au niveau de la conscience objet, et il est très facile de la laisser vous absorber.

La clé, c’est de trouver la dimension de l’espace qui est au-delà des polarités que l’on retrouve dans la conscience objet sans s’attendre à ce qu’un jour tout aille bien. Cela peut se produire mais pas de la façon anticipée par le mental. Peut-être que tout va déjà très bien mais vous ne le savez pas.

Permettez à la configuration d’objets dans votre vie d’être ce qu’elle est même si cela semble problématique. Ainsi, vous laissez votre identification à la conscience objet. Permettre est un recul, et quand vous reculez, un espace s’ouvre autour des circonstances particulières de la situation de ce moment. Et quand une personne hurle devant vous en vous accusant d’avoir fait quelque chose, si vous permettez à cette situation d’être ce qu’elle est sans réagir, il se crée tout à coup un espace autour de l’agitation. Au tout début, cet espace est très subtil et, avec le temps, vous réaliserez sa profondeur. Même les grandes périodes d’agitation comme la maladie et la mort peuvent être observées avec du recul.

Quand vous restez aligné intérieurement sur l’état d’être de chaque moment, vous accédez à une dimension plus profonde qui vous permet de vous libérer de toute dépendance sur le monde des formes.

Eckhart Tolle (CD Entrer dans le moment présent)

01/07/2007

Le jugement

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Pourquoi ne pas accueillir l'opinion de l'autre telle qu'elle est ? La refuser ne fait que renforcer votre croyance d'être quelqu'un.

Voyez qu'aucune représentation de vous-même n'est vous-même. Vous en êtes le connaisseur. Perdez donc l'habitude de vous prendre pour ce que vous n'êtes pas.

Libérez l'esprit de tout concept, de toute répresentation, notamment celle nommée moi-même. Vivez l'absence de vous-même. Dilatez vous dans cette absence. Habitez la. Vous êtes alors présence, sans référence.

Reste-t-il encore des préoccupations sur ce que l'on peut penser de "vous" ? Parle-t-on de vous en tant que présence ou en tant que concept ? Un concept parle à un autre concept. De ce point de vue, il n'y a pas de dialogue, mais seulement projection.

Lorsque les autres parlent de vous, ils ne parlent pas de vous, mais de la représentation mentale qu'ils se font de vous, continuité de la projection mentale qu'ils se font d'eux-mêmes.

Voyez cela sur le vif, dans l'instant. Accueillez ce constat. Laissez le mourir dans l'écoute silencieuse.

Ce que vous êtes est sans jugement.

Jean-Marc Mantel (Lumière sans voile)